Christie Morreale | La Maison des Jeunes d’Esneux reconnue par la Communauté française
Vice-Présidente du Gouvernement wallon, Ministre de l’Emploi, de la Formation, de la Santé, de l’Action sociale, de l’Egalité des chances et des Droits des Femmes
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La Maison des Jeunes d’Esneux reconnue par la Communauté française

Article publié dans la Dernière Heure du 7 mai 2015 :

Esneux la touristique, Esneux la bucolique, Esneux la commerçante… et Esneux la cité des jeunes ! Il y a quelques jours, la maison des jeunes d’Esneux a été reconnue par la Communauté française. Une nouvelle qui fait du bien pour cette structure qui n’a que cinq ans; des subsides sont à la clé.

Jusqu’en 2010, la commune d’Esneux ne disposait d’aucune infrastructure reconnue permettant d’accueillir des jeunes sur son territoire, « et cela manquait » , nous assure-t-on à Esneux. « C’était la conclusion d’une enquête réalisée sur les besoins des habitants de la commune. » Une entité qui attire de nombreux jeunes, comme lors d’événements tels que les Beach Days, notamment.

Il y a cinq ans, la maison des jeunes (Jet pour Jeunesse Esneux-Tilff) a donc été créée, avenue Montefiore, sous l’impulsion de la députée et échevine de la Jeunesse à l’époque, Christie Morreale.

Très rapidement, l’infrastructure, qui ne bénéficiait toutefois pas de l’appellationmaison des jeunes (et donc pas non plus des subsides y afférent), a rencontré un succès certain, via les cours de hip-hop, de cuisine, de danse ou de judo notamment. « Vu le succès rencontré, il était nécessaire de pouvoir passer à la vitesse supérieure via l’octroi d’une reconnaissance » , insiste ce collaborateur de la députée.

C’est donc ce qui vient d’être validé, puisqu’Isabelle Simonis, ministre de la Jeunesse, a accordé à la Jet la reconnaissance minimum prévue dans le décret « centre de jeunes » . Des subsides pour un montant de plus de 18.000 € sont à la clé. Voilà de quoi inscrire la maison dans des projets à plus long terme…

En outre, cette agréation ouvre la voie à d’autres aides, « réservées aux associations de jeunesse agréées » . Chaque semaine, c’est une soixantaine de jeunes qui fréquentent l’infrastructure.

M. B.